Un cabinet de conseils et de transactions en pharmacie tel que le cabinet PCT est un acteur incontournable pour accompagner les vendeurs et les acquéreurs dans leur réflexion et leur démarche. Sa connaissance du secteur et des différents acteurs spécialisés (experts-comptables, avocats) est essentielle mais plus suffisante aujourd’hui. Il convient en effet de maîtriser les enjeux juridiques et financiers des projets étudiés en relation avec les conseils des pharmaciens. Il est indispensable de parler le même langage qu’eux afin de proposer le meilleur schéma possible tant pour le vendeur que pour l’acquéreur.
LA DÉMARCHE À SUIVRE CÔTÉ VENDEUR :
Tout vendeur potentiel devra passer par l’étape valorisation de son officine avant de déterminer son prix de vente qui devra demeurer cohérent par rapport au prix du marché selon la typologie et la taille de son officine. Il faudra également tenir compte de son développement futur tant interne (croissance organique) qu’externe (transfert, regroupement). Le conseil que propose le cabinet PCT s’inscrit dans cette logique d’accompagnement en fonction de votre situation fiscale et patrimoniale.
Que faudra–t-il vendre ? Le fonds de commerce de l’officine ou les titres de la société (SPFPL, SEL) ? Qui détient ce fonds de commerce ? Car c’est bien le vendeur qui fixe les règles du jeu en la matière.
Seul le prix de vente pourra faire l’objet d’une négociation en fonction des critères et des caractéristiques retenus par les parties. Un prix de vente trop élevé et en déconnexion avec les tendances du marché va pénaliser le projet et va envoyer un mauvais signal aux potentiels acheteurs en demeurant trop longtemps à l’affiche. On rencontre le même schéma dans l’immobilier classique.
LA DÉMARCHE À SUIVRE CÔTÉ ACQUÉREUR :
Du côté de l’acquéreur, la démarche sera différente selon son profil à savoir si c’est un primo-accédant ou pas. Si le pharmacien a déjà été installé, il sollicitera normalement ses conseils (transactionnaire, expert-comptable, avocat) qui l’ont accompagné par le passé. Il a déjà une certaine expérience dont il pourra se servir.
Dans le cas du primo-accédant, l’équation sera différente dans la mesure où, sauf exception, il ne bénéficie pas encore d’un environnement favorable pour l’accompagner. Il devra adopter une méthodologie efficiente pour ne pas se disperser inutilement et perdre un temps précieux qu’il n’a pas forcément. L’appel à un conseil comme le cabinet PCT lui sera profitable pour connaitre les codes du marché officinal et les pièges à éviter. Cela l’aidera à se poser les bonnes questions en fonction de sa situation personnelle et familiale afin de prendre une décision en toute connaissance de cause.
L’accédant, primo ou non, privilégiera-t-il tel mode de fonctionnement par rapport à un autre (seul ou en association) ? Vers quelle typologie d’officine (centre commercial, centre-ville, quartier, rurale) et vers quelle taille (petite ou pas) s’orientera-t-il ? L’objectif étant de trouver un équilibre choisi et non subi entre vie professionnelle et vie personnelle. Quelles seront les pistes à privilégier au détriment d’autres choix ?
Et, enfin, le nerf de la guerre concernera toujours l’aspect financier qui validera ou non la faisabilité et la viabilité du projet. C’est la raison pour laquelle le primo-accédant s’appuiera sur le conseil pour l’orienter et l’accompagner dans la recherche de la meilleure solution financière.
Il existe, aujourd’hui, différents types de financement qui répondront aux besoins du projet étudié. Et la conjoncture actuelle de hausse des taux d’intérêt bancaires, pour financer une pharmacie, incite à la plus grande vigilance et réflexion.
La présence du cabinet PCT à vos côtés constituera un atout indéniable dans votre démarche.